- play-boy
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• 1936; mot angl. amér.♦ Anglic. Jeune homme élégant et riche, séducteur, menant une vie oisive et facile. ⇒vieilli viveur. Un physique avantageux de play-boy. Des play-boys.play-boyn. m. (Anglicisme) Jeune homme au physique séduisant, connu pour sa vie facile et ses succès féminins. Des play-boys.⇒PLAY-BOY, subst. masc.Homme jeune, riche, séduisant, désinvolte, recherchant les plaisirs de la vie et en particulier les conquêtes féminines. Le solennel [mot] «théorie», symbolisant une construction lourde et spécialisée, bien inutile aux futurs avocats, médecins, sociologues ou play-boys que sont nos fils (WARUSFEL, Math. mod., 1969, p.33). Ce svelte et blond play-boy de vingt-deux ans qui parade dans son cabriolet Triumph rouge (R. BORNICHE, Le Play-boy, 1982 [1976], p.17).Prononc. et Orth.:[
]. Plur. des play-boys. Étymol. et Hist. 1936 (Voilà, 25 sept., p.13a ds HÖFLER Anglic.:La désignation moderne de «Playboys» —Fêtards —); 1949 (M. CHADOURNE, Gladys, in Revue de Paris, mars, p.46, ibid.:l'incartade d'un play boy jaloux). Empr. à l'angl. playboy (1829 ds NED Suppl.2) comp. de boy «garçon, jeune homme» et play «jeu, amusement» désignant un homme, généralement aisé, occupé à faire la fête et à rechercher tous les plaisirs. Bbg. HUMBLEY t.2 1974, p.652. —QUEM. DDL t.21.
play-boy [plɛbɔj] n. m.ÉTYM. 1949, playboy, in Höfler; mot anglo-amér., « jeune viveur », de to play « jouer », et boy « garçon ».❖♦ Anglic. Jeune homme élégant et riche qui mène une vie de plaisirs. || Des play-boys. || Les avions d'affaire, « gadgets pour play-boys milliardaires ! » (le Nouvel Obs., 15 févr. 1978, p. 50).0 (…) elle te prend plus ou moins ironiquement pour un séducteur, une manière de play-boy.Cécil Saint-Laurent, la Mutante, p. 144.
Encyclopédie Universelle. 2012.